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Le Grand Chemin Nantais - Alain Gnaedig

Note de service - Le Grand Chemin nantais

C’est vendredi prochain, le 31 mai, que paraîtra mon nouveau livre, Le Grand Chemin nantais, aux Éditions Le Mot et le Reste.

Je délaisse ici le genre du roman pour celui du récit de voyage.

Mais de quel genre de récit de voyage parle-t-on? En effet, il s’agit d’un périple de l’infra-ordinaire sur le GR du Pays Nantais, une boucle de 161 km autour de Nantes, parcourue dans les deux sens…

Pour en savoir plus, on peut lire le livre, bien entendu.
Et, le jour même de la sortie du livre, j’aurai le plaisir de le présenter au Théâtre La Ruche, à Nantes, à partir de 20:30, dans le cadre d’une soirée « un auteur, un compositeur ».
Le compositeur qui viendra apporter des ponctuations musicales n’est autre que le grand contrebassiste Simon Mary, et la soirée sera animée par l’écrivain Jean-Louis Bailly.

J’en reparlerai, bien sûr.


https://theatrelaruche.wixsite.com/laruche/mai/uauc-gnaedig

« Les jours sont comme l’herbe » de Jens Christian Grøndahl

Note de service: « Les jours sont comme l’herbe » de Jens Christian Grøndahl - mai 2023

Les jours sont comme l’herbe, de Jens Christian Grøndahl est paru cette semaine, dans la collection Du Monde Entier. C’est le quinzième livre de lui que je traduis.

Dans ce fort volume, on trouvera six romans. Ce sont six romans courts, dans des formats proches de ceux de « Virginia » ou « Quelle n’est pas ma joie », ou un peu plus courts, six textes épurés qui forment comme autant de variations sur le thème des moments décisifs, des moments où la vie prend un tour que l’on n’avait pas nécessairement attendu, avec des choix qui auront un impact sur une vie entière.

Chaque texte possède son identité stylistique propre, avec ces nuances subtiles que l’on a déjà pu voir à l’œuvre chez le grand romancier danois. Je peux vraiment dire que c’est du grand art.


La presse en parle déjà. Ainsi, Lire:
« Qu’elles parlent d’amour, de désamour, d’engagement, d’ambition, d’amoralité économique ou de foi authentique, chacune campe un personnage en fuite : évadé, réfugié, fugueur, suicidé ou transfuge de classes. À chacune son point de bascule, imprévu et irréversible. Et à chacune aussi sa réflexion sur l’écriture, qu’elle passe par le journal intime, la rédaction de mémoires ou par cette carte postale déchirée, dont on espère toute une vie l’autre moitié. »

Ou, Le Figaro:
« Au choix: longues nouvelles ou courts romans. Il y en a six. Pas un de ces textes n’est raté. Le talent de Grøndahl fonctionne à plein. (…) ses mots sonnent juste. Ils tombent sur la page avec la limpidité d’une goutte de pluie, la douceur d’un flocon de neige. »